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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 11:25

Par Redaction | ZAMAN FRANCE jeu, 15/11/2012 - 10:43

L’association Réseau ProActif qui présentait le 9 novembre dernier son programme et ses projets pour l’année 2013 s’est fixé comme objectif de favoriser l’insertion professionnelle des jeunes et des étudiants en misant entre autres sur un nouveau concept : le mentorat.

La saison 2013 de l’association Réseau ProActif a été lancée le 9 novembre devant une centaine de personnes. Des anciens membres étaient là pour accueillir les invités qui se sont déplacés spécialement pour cette occasion. Ils ont pu alors découvrir tous les projets de l’association et connaître la question que se posent ses membres chaque matin : «Que pouvons-nous faire pour être utiles pour la France ?» Réseau ProActif souhaite être «utile» et «structurant» aux jeunes des quartiers comme aux nouveaux diplômés en général, mais pour cela, elle doit être «structurée» rappelle son président Tuna Bas. Pour 2013, le mot d’ordre sera la continuité, notamment avec les clubs Energie/Environnement, Finance, Art Culture, Médias qui ont été l’une des plus grandes réussites de cette année 2012. L’association a en effet organisé une rencontre des jeunes de banlieue avec les grands frères, qui, issus eux aussi de l’immigration, ont réussi professionnellement à force de persévérance.

Le souci d’être utile pour la France
Parmi les points à améliorer pour 2013, et qui figurent comme l’une des priorités, se trouve le mentorat, qui consiste à favoriser l’insertion professionnelle des jeunes diplômés. Le concept consiste à s’appuyer sur des membres expérimentés (3 ans minimum) qui prennent eux-mêmes sous leur aile quatre étudiants en fin de cycle afin qu’ils évitent les écueils liés au monde du travail. Ce projet qui n’a pas pu fonctionner cette année en raison d’un «manque de temps» tient à cœur à tous ses membres. Un nouveau thème va voir le jour et sera expérimenté courant 2013, le Career Centre. Cela consiste à syndiquer les offres de stages des membres afin de les proposer aux étudiants. Un coach suivra les jeunes en les aidant avec leur CV, lettre de motivation, entretien, pour qu’ils répondent au maximum aux attentes de leur futur employeur. Les membres dirigeants de Réseau ProActif veulent faire évoluer l’image de l’association, «pas seulement visuellement mais également dans [leur] état d’esprit» souligne-t-il ; l’objectif étant de véhiculer le souci d’être utile à la France.

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 08:37

Thématique Découverte
Date de debut 2012.11.13
Date de fin 2012.12.25
Intro La pièce de théâtre musical, Janus Istanbul, de Gisèle Durero-Köseoglu, parue en français au printemps 2012, vient de sortir en turc dans les librairies de Turquie sous le titre Janus ? Istanbul’da.
Description Comme la version française, la version turque comporte, avec le livre, un CD des musiques et chansons composées et interprétées par Erol Köseoglu… mais cette fois, en turc.
Satirique lorsqu’elle aborde le problème du déracinement, des préjugés culturels et de l’intolérance, pathétique lorsque les personnages, confrontés à des difficultés qu’ils croient insolubles, sombrent dans le désespoir, la pièce est en effet conçue pour être un spectacle musical.
La réalisation de la version turque est le fruit de longues heures de travail. La traductrice, Nil Çayan, a dû, en plus du texte de la pièce, traduire toutes les chansons et Erol Köseoglu a ensuite refait le travail d’enregistrement en studio.
Espérons que cette pièce illustrant le problème de l’identité dans le mélange des cultures et de l’acceptation des différences, montera vite sur les planches, françaises ou turques !

Contact Gisèle Durero-Köseoglu
Adresse
Lien http://giseleistanbul.com/ OU http://gisele.ecrivain.istanbul.over-blog.com/
Posté par MD
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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 08:35

Thématique Expositions
Date de debut 2012.11.08
Date de fin 2012.11.22
Intro "RENDEZ-VOUS" by Perlet Boveland & Tuana Birol
Description 2 femmes, 2 vies, 2 sensibilités...
Vernissage le 8 novembre
Contact
Adresse Gallery
Arnavutkoy Art Gallery
Bebek Arnavutkoy Cad - 75
Besiktas, Istanbul 34345
Phone 0 212 2570667
Valet Parking
Lien http://www.arnavutkoyartgallery.com
Posté par MD
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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 08:34
Lors d'un récent congrès à Tokat, dans le nord du pays, des universitaires turcs ont débattu des récentes polémiques entourant les séries télévisées s'inspirant de faits historiques. "Le peuple turc confond les séries télévisées et les documentaires", a estimé Erhan Afyoncu, professeur et membre du Conseil supérieur Atatürk pour la culture, la langue et l'histoire, cité par l’agence Anatolie. Le débat s’est notamment concentré sur la très populaire série Muhteşem Yüzyıl (Le siècle magnifique) qui s'inspire, tout en la romançant, de la vie du sultan Soliman le Magnifique. L'occasion de poser à nouveau l'épineuse question de la fiction et de la réalité dans le traitement des sujets historiques. "Personne ne sait comment un sultan se comportait avec sa femme ou dans la vie quotidienne", a souligné Erhan Afyoncu, pour qui une série télévisée ne doit pas s'en tenir à la “réalité”. Le chercheur note d’ailleurs que les séries qui choisissent de “coller” aux faits, sans dépeindre l’intimité des figures historiques, sont en général boudées par le public. Selon Ali Açıkel, de l'Université de Gaziosmanpaşa, "la fiction est parfois nécessaire face à un manque de documents historiques. Mais elle ne doit pas venir contredire les dates, coutumes, traditions et lois existantes".

Marlène Alibert (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) mercredi 14 novembre 2012

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 08:33
Plusieurs médias turcs, y compris des agences de presse, ont affirmé ces dernières semaines que le Consulat général de France à Istanbul réclamait désormais la présentation d’un diplôme pour les demandes de visa touristique. Faux, répond Elisabeth Mailly, consule adjointe en charge des visas. “Le diplôme ne fait pas partie de la liste des documents requis, mais le Consulat se réserve le droit de demander tout autre document si le dossier est jugé incomplet ou si nous avons un doute sur le but du voyage ou l’une des pièces présentées”, indique Elisabeth Mailly.

Une citoyenne turque exprimait dans la presse sa “surprise” d’avoir dû présenter son diplôme universitaire et une lettre de son employeur précisant sa fonction au sein de l’entreprise. “La France réclame désormais un diplôme aux demandeurs de visa touristique”, concluaient les articles. “Il est extrêmement rare que nous demandions un diplôme”, rectifie Elisabeth Mailly, “et cela se passe toujours dans le cadre d’une convocation. Dans ce cas, la personne reçoit avec sa convocation une liste de documents supplémentaires dans laquelle peut effectivement figurer le diplôme”, ajoute-t-elle. Cette pièce officielle peut aider les officiers consulaires à évaluer la crédibilité du poste mentionné par le demandeur dans son dossier, comme cela était vraisemblablement le cas de la jeune femme citée.

Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) jeudi 15 novembre 2012

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 08:32
La restructuration de Taksim, qui vise à rendre la place entièrement piétonne, entraine une flambée des prix de l’immobilier dans le quartier, affirme un rapport du site d’annonces en ligne sahibinden.com, citée par l’agence Anatolie.

Selon ce rapport, les prix des loyers auraient augmenté de 77% à Beyoğlu entre septembre et octobre, avec un record de 89% pour les appartements situés à proximité immédiate de la place. La hausse serait plus spectaculaire encore pour les biens à vendre, puisque le site a enregistré une augmentation de 200% des prix affichés par les propriétaires. Beaucoup d’entre eux choisiraient d’ailleurs d’attendre pour mettre leur propriété en vente, dans l’espoir que cette hausse des prix se poursuive.

Le rapport établit un lien direct avec les travaux de transformation de la place, qui ont débuté fin octobre, au grand dam de plusieurs ONG et groupes de riverains.

Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) jeudi 15 novembre 2012

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 11:54

Ferhat Göçer

Ferhat Göçer, musicien hors norme, possède un large éventail de répertoire ; des aires d’Opéra à la Musique contemporaine, des Napolitaines aux Chansons en passant par des Rébétikos ; des bijoux de la musique traditionnelle turque aux morceaux nostalgiques de la musique Pop en passant par des chants la musique populaire turque.


Ses 4 albums précédents ont dépassé 1 million de vente, et Ferhat Göçer présente son nouvel album « SENI SEVMEYE ASIGIM » (je suis amoureux de t’aimer) dans une tournée européenne.

Il a déjà conquis le public dans 15 métropoles européennes avant de venir à Paris avec son dernier album. Ce musicien/médecin (double diplôme de la Faculté de Médecine de l’Université d’Istanbul et du Conservatoire National Division Chant) est un habitué des tournées européennes avec 25 concerts à son compte réalisés durant les années précédentes.

Que direz-vous de vivre des moments inoubliables dans cette cascade de concerts qui auront lieu entre le 2 octobre et le 18 novembre 2012 ?

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 11:48

zoom de l'automne : les mille et une frontières de l'Iran

Affichette du salon de lecture - zoom de l'automne : les mille et une frontières de l'Iran © musée du quai Branly - Cliquer pour agrandir, ouverture dans une nouvelle fenêtre
Affichette du salon de lecture - zoom de l'automne : les mille et une frontières de l'Iran © musée du quai Branly (cliquer pour agrandir)

Que sait-on de l’Iran et des Iraniens aujourd’hui ? La société iranienne est complexe et en proie à des mutations profondes, politiques, culturelles, sociales qui se jouent dans ses frontières mais aussi hors de ses frontières. Qui mieux qu’une anthropologue pour éclairer et comprendre les enjeux de ces évolutions ?

Plus qu’une simple étude sur l’Iran, l’ouvrage de F. Adelkhah dresse une théorie originale sur la globalisation et les conditions de la création d’une identité nationale dans laquelle les diasporas, les pratiques de voyage, les réseaux d’échanges - financiers, culturels, commerciaux - jouent un rôle majeur hors des frontières nationales.

À l’occasion de la sortie du livre remarquable de Fariba Adelkhah "Les mille et une frontières de l’Iran : quand les voyages forment la nation", le salon de lecture consacre son trimestre d’automne à l’Iran et au monde perse. À rebours de la vision orientaliste de l’Iran « éternel », un cycle sur ce qu’être Iranien (et Iranienne) veut aujourd’hui dire : voyager, s’expatrier, commercer, étudier, aller en pèlerinage, s’approprier le monde.

Un automne au salon pour rencontrer Catherine Clément et son invité, Amos Gitaï, le cinéaste Asghar Farhadi et une grande poète, Etel Adnan.

 

séance d’écoute : le santur persan
samedi 24 novembre à 15h

Par Arash Mohafez, ethnomusicologue et musicien (santur).

Doctorant à Paris X - Nanterre, diplômé de musique de l’Université Sure de Téhéran, Arash Mohafez est un maître du cymbalum santur, qui a donné de nombreux concerts en Europe et en Asie.

Expert du style classique, il est aussi un connaisseur du système turc ottoman ancien qui au XVIIe siècle était similaire au système persan. Ses recherches consistent à exhumer les compositions persanes conservées dans les ouvrages de cette époque, et d’en donner une interprétation musicalement la plus crédible.

En collaboration avec la Société Française d’Ethnomusicologie.

 

« Musiciens de cour, Téhéran vers 1900 ». Tiré d’un tableau de Kamal ol-molk © Droits réservés.
« Musiciens de cour, Téhéran vers 1900 ». Tiré d’un tableau de Kamal ol-molk © Droits 
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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 09:30
 

Une récente étude menée – en 2012 – par Ernst & Young sur la gestion de la mobilité internationale par les entreprises démontre que bon nombre d’entre elles rencontrent des difficultés à gérer le retour de leurs salariés expatriés. Conséquence ? Une partie significative d’entre eux quittent leur entreprise à leur retour. Explications

Ce sont 520 grands groupes qui ont participé à l’étude menée par Ernst & Young sur la mobilité internationale. Le résultat est éloquent : 11% des employés expatriés démissionnent à leur retour. Kevin Cornelius, employé dans le département des ressources humaines chez Ernst & Young, explique ce résultat : "Il est étonnant de constater que beaucoup d’entreprises ne parviennent pas à mettre en place un management empêchant leurs employés de démissionner. On ne fait en fait rien pour empêcher nos meilleurs talents d’aller chez nos concurrents". M. Cornelius explique cela par un manque d’accompagnement a posteriori de la mission, souvent laissé à la marge.

La mobilité internationale en développement

(photo Corbis) Pourtant, cette même étude révèle que près de 50% des entreprises interrogées entendent développer leur mobilité internationale. Un résultat corroboré par une enquête similaire, réalisée par ECA International. Intitulée "Managing Mobility", l’étude de ce spécialiste de la gestion de l’expatriation indique que près de 2 entreprises sur 3 prévoient une augmentation du nombre de leurs expatriés au cours des trois prochaines années. La mobilité internationale continue de se développer, et se situe au cœur des stratégies des firmes mondiales. Toutefois, elle doit être revue en termes d’accompagnement, de préparation et d’adaptation.

Accompagner les expatriés pour les fidéliser

L’étude d’ECA International est claire à ce sujet : La carrière du conjoint, les études des enfants et les évolutions de carrière sont autant de freins à l’expatriation. Ces trois éléments constituent les préoccupations de 90% des expatriés. Pour pallier ces difficultés, certaines entreprises n’hésitent pas à mettre en place une assistance dédiée aux partenaires ou conjoints des expatriés

La gestion du retour d’expatriation : une étape cruciale

L’étude ECA International aboutit à une conclusion significative : "Selon les résultats de cette enquête 2012, trois quarts des responsables RH interrogés estiment que la réinsertion qui suit la mission est une étape cruciale. En effet, les entreprises doivent pouvoir retenir les salariés disposant d’une expérience et de compétences internationales, et savoir gérer le retour d’un expatrié, notamment lorsque les perspectives d’évolution de carrière sont limitées dans le pays d'origine. Malgré cela, seulement 27% des entreprises interrogées ont mis en place des protocoles visant à suivre les expatriés à leur retour de mission, et seulement 37% des responsables RH abordent les perspectives d’évolution des expatriés au moins six mois avant leur retour".

Si nombre d’entreprises ont conscience des enjeux inhérents au retour d’une expatriation, peu encore ont réellement mis un place un système d’accompagnement des salariés de retour dans leur pays d’origine.

Conclusions de l’étude menée par ECA International

Conclusions de l’étude Ernst & Young

Constance de Guernon (www.lepetitjournal.com) Lundi 12 novembre 2012 

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 09:27
C'est sans aucun doute le premier roman le plus remarqué du moment. Avec La théorie de l'information, Aurélien Bellanger déploie sur presque 500 pages une épopée française des nouvelles technologies. Des balbutiements du minitel aux spéculations post-humaines, la perplexité le dispute souvent à la fascination.


Certains sujets semblent parler spécifiquement du monde contemporain. Font- ils pour autant de grands romans ? Le sujet a-t-il d'ailleurs tant d'importance ? Il semble en tout cas offrir à une nouvelle génération d'écrivains (Alexis Jennis l'an dernier par exemple) une alternative à un supposé nombrilisme souvent dénoncé. Le thème choisi par Aurélien Bellanger, 32 ans, est à la fois étonnant et terriblement dans le vent. Il raconte en effet, de façon précise et terriblement documentée, quarante ans d'histoire économique française liée aux nouvelles technologies de la communication. Il suit pour cela l'évolution de Pascal Ertanger, un jeune homme se découvrant un don pour la programmation à l'époque où arrivent en France les premiers ordinateurs accessibles. Velizy où il vit est alors un site de pointe en matière de télématique. Le minitel a vu le jour et va bientôt permettre au héros d'Aurélien Bellanger de bâtir une fortune précoce et considérable via les services de messageries roses.

A 20 ans, Pascal Ertanger est un chef d'entreprise florissant. Sans cesse à la recherche de nouveaux développements, il pirate très habilement la base de données de France Telecom et propose le premier annuaire inversé. Mais la révolution internet va implacablement supplanter l'expérience minitel. Contrairement à beaucoup, Ertanger ne rate pas le coche et crée dans les années 90, Démon, le premier fournisseur d'accès hexagonal. Il est devenu l'un des hommes les plus riches du monde.

Vers l'homme 2.0

Derrière le personnage de Pascal Ertanger, il est tentant de reconnaître Xavier Niel, le fondateur de Free. S'il s'en inspire sans aucun doute, Aurélien Bellanger ne construit pourtant pas un roman à clé mais joue avec les frontières du romanesque en mélangeant de façon indistincte fiction et personnages existants (Thierry Breton, Jean-Marie Messier ...).

Présent sur 486 pages, Ertanger apparaît d'ailleurs assez insaisissable, lointain. Son humanité est comme submergée par l'extraordinaire masse d'informations techniques, scientifiques, économiques qui font la matière même du roman. Beaucoup trop copieuse, fastidieuse, délivrée dans un style volontairement retenu et allant, pour ce qui est des pages d'inter-chapitres jusqu'à la plus totale opacité, elle se révèle pourtant au bout du compte, hypnotique et fascinante.

Le roman, organisé en trois temps, "minitel", "internet","2.0", se tourne, dans son troisième tiers, vers la science-fiction et tente d'embrasser la destinée de l'humanité tout entière. On ne peut alors que penser à Michel Houllebecq et se souvenir qu'Aurélien Bellanger est l'auteur d'un essai consacré à son aîné. La filiation est éclairante et absolument assumée.
Jean Marc Jacob (www.lepetitjournal.com) lundi 12 novembre 2012

Aurélien Bellanger, La théorie de l'information (Gallimard) 490 pages, 22,50 euros.

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  • : Le blog de karavanseray
  • : Ce blog est destiné aux associations (et entreprises) françaises et de culture moyen-orientales, aux artistes souhaitant recevoir des conseils en matière de gestion, d'organisation, de demandes de subventions, etc... hors activités politiques et cultuelles, et souhaitant faire connaître leurs activités en France, en Turquie et dans les pays du moyen-orient.
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