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21 décembre 2012 5 21 /12 /décembre /2012 08:47
Si le froid régnait dehors, dans l’Istanbul enneigée, l'ambiance était beaucoup plus chaleureuse hier au Lycée français Notre Dame de Sion, qui lançait officiellement son premier concours international de piano. Yann de Lansalut, proviseur de l'établissement, avait convié pour l'occasion une partie du jury devant la presse.

De g. à d.: Yann de Lansalut, Stéphane Blet, Ayla Erduran (Photo TQ)

Le proviseur du lycée n’a pas caché pas sa satisfaction de voir enfin ce projet aboutir. L’histoire est vieille de deux ans : “L'exposition événementielle internationale de la Turquie ne rayonne aujourd'hui quasiment que par le sport. Nous sommes tous très heureux de l'étendre à la musique avec ce projet. Notre prix littéraire récompensant un auteur français et un auteur turc n'était qu'une première étape, ce nouvel événement s'inscrit parfaitement dans le prolongement des programmes scolaires de Sion, historiquement très tournés vers l'art”, souligne Yann De Lansalut.

Pour mener à bien sa mission, il s'est entouré d'une belle équipe, parmi les meilleurs représentants du piano turc dans le monde francophone : Ali Darmar, Güher et Süher Pekinel, Ayşegül Sarıca, pour ne citer qu'eux, qui ont tous étudié la musique en France. A noter aussi la participation de la célèbre et talentueuse Japonaise Atsuko Hirose, elle aussi passée par le conservatoire de Paris. Cette dernière se dit très heureuse de sa participation, notamment en tant que représentante du Japon, “un grand pays du piano”.

Belle opportunité pour tous les pianistes en manque de visibilité, le concours est ouvert à tous et facilement accessible sur internet. Les sélections se feront sur vidéo ou enregistrement audio. Après une sélection, les candidats se retrouveront pour la compétition, avec demi-finale et finale à la clé. Mais l'originalité du concours réside aussi dans le fait qu'il impose des compositions turques à ses participants.

Une vitrine de la musique turque
Le compositeur et pianiste français Stéphane Blet, président du jury, explique pourquoi : “J'adore la Turquie, c'est un pays où je viens régulièrement et pour lequel j'ai beaucoup d'affection. Quand Mr De Lansalut m'a contacté, j'ai tout de suite été emballé. J'ai particulièrement tenu à faire quelque chose de spécial ici, en imposant la musique turque aux participants, de façon à en faire la promotion, une sorte de vitrine mondiale de ce qui se fait aujourd'hui au niveau culturel”, dit-il. Les candidats devront donc présenter deux créations de compositeurs turcs, une règle originale dans ce genre de concours.

L'évènement devrait aussi obtenir une bonne couverture médiatique, notamment grâce à une collaboration avec la TRT. Nihan Ühay, secrétaire générale de la chaîne, présente hier, a assuré être “honorée de travailler avec Notre Dame de Sion”.

Le gagnant du concours empochera 10.000 dollars, des propositions de concerts, ainsi qu'un enregistrement dans la maison de disques de Stéphane Blet. “L'idée était avant tout de donner une opportunité au gagnant, pour qu'il ne reparte pas uniquement avec un prix” explique ce dernier. Belle façon, en effet, de commencer sa carrière...

Tanguy Quidelleur (www.lepetitjournal.com/istanbul) vendredi 21 décembre 2012


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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 18:23

Partagé et à partager:
"Bonjour, journaliste pour France 3, je prépare en ce moment un documentaire sur les Français naturalisés ; le film s’intitule : « Les Français parlent aux Français » et sera réalisé par Didier Cros. Il s’agira d’une série de portraits croisés de naturalisés d’hier et d’aujourd’hui. Qui témoigneront des raisons de l’exil, du choix de la France, en passant par la décision et le processus de la naturalisation, la difficulté d’intégration et les interrogations identitaires. Le film invite à témoigner sans distinction des Français connus et inconnus. Résistant naturalisé après la guerre, Français des anciennes colonies du Maghreb, réfugié politique du sud-est asiatique à la fin des années 70, immigré sub-saharien des années 80, légionnaire issu des pays de l’Est qui obtient la nationalité française fin 90… et des Français fraîchement naturalisés.
Tous les parcours marquants de Français naturalisés nous intéressent. Si donc, dans ce réseau, certains sont naturalisés et ont envie de témoigner pour ce documentaire, je serai ravie de les écouter. Ils peuvent me joindre au 06 61 57 19 76 ou m'écrire à aurylia_rotolo@yahoo.fr Merci sincèrement de votre aide,
Bien cordialement,
Aurylia Rotolo
06 61 57 19 76 "

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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 09:00
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20 décembre 2012 4 20 /12 /décembre /2012 08:53
Demain, vendredi 21 décembre, sera non seulement le jour le plus court de l'année mais aussi la date tant redoutée de la fin du monde, à en croire une interprétation du calendrier maya. Un jour comme un autre ou bien l'occasion de faire des folies ? Lepetitjournal.com a demandé à quelques Stambouliotes leur emploi du temps de demain.

Si 15% des Terriens pensent "faire l'expérience de la fin du monde de leur vivant" *, les Turcs, eux, sont encore plus pessimistes : 22% d'entre eux craignent de connaître l'apocalypse, à l’image des Américains. En comparaison, les Français ne sont que 6% à exprimer la même crainte. Dans les rues d'Istanbul, la question fait sourire les passants, assez peu préoccupés par cette prédiction, qui semble plutôt une bonne occasion de faire la fête.

Zafer, gérant d’un commerce à Sultanahmet

“Tout le monde ne parle que de ça et j’entends parfois les touristes européens évoquer le sujet en plaisantant lorsqu’ils passent devant ma boutique ! Pour ma part, je ne crois pas du tout à ces choses-là. Vendredi, j’irai travailler, ce sera un jour banal pour moi. Je respecte les gens qui croient en ce genre de choses mais chez nous, les musulmans, ce n’est pas possible. Il ne faut pas se laisser dicter quelque chose qui ne vient pas de Dieu, comme cette fin du monde par exemple."

Zafer, dans sa boutique près du Palais de Topkapı (photo MA)

Marta, étudiante polonaise à l’université de Bahçeşehir et Bora, turc, en couple depuis deux ans

"Demain, nous allons peaufiner les préparatifs de notre mariage prévu samedi à Istanbul, un jour seulement après la prétendue fin du monde ! Ça ne nous fait pas peur, nous ne croyons pas en ce genre de choses. La date du mariage a été décidée il y a quelques mois, nous savions donc que la fin du monde était annoncée. Mais nous avons trouvé ça plutôt drôle, et nos amis blaguent toujours à propos de la date du mariage. On pourra se réjouir d'avoir survécu et fêter ça tous ensemble !"

Marta et Bora (photo personnelle)

Yaseer, étudiant à l’université Yıldız Teknik

"Je pense que nous allons tous mourir (en plaisantant) ! J’ai prévu de faire une grosse fête avec des amis jeudi pour célébrer la fin du monde, et j’aimerais bien faire quelque chose d'un peu fou, comme aller nager en pleine mer par ce temps par exemple. Et vendredi, je pars avec des amis à Éphèse pour faire du parachutisme. Finalement, l’apocalypse, c’est juste une bonne raison de faire des choses qui sortent de l'ordinaire !"

Yaseer, étudiant à Istanbul (photo personnelle)

Sarah, étudiante en gestion à l’Université de Galatasaray

" Je serai en examen, dès 10 heures du matin. A l’université, la fin du monde n’est pas une excuse valable. Je compter aller faire la fête sur l’avenue Istiklal le soir. Cette histoire me fait plutôt rire : si j’avais été en France, je crois que je serais allée à Bugarach, le village où beaucoup de gens vont se réunir, pour marquer le coup et voir ce qui s’y passe !"

Sarah, étudiante à l’université de Galatasaray (photo personnelle)

Erdem, commerçant à Sultanahmet

"Rien de particulier pour moi, c'est un jour comme les autres. Je ne crois pas en ces superstitions, et je n’ai encore rencontré personne qui ait vraiment peur de cette fin du monde. Je me demande où sont tous ces touristes qui partent près d’Izmir ! Mais c’est une bonne chose pour le tourisme, notamment pour les commerçants et hôteliers du petit village de Şirince près d'Izmir, censé être le lieu où se réfugier en Turquie."

Le commerçant Erdem, devant Sainte-Sophie (photo MA)

Propos recueillis par Marlène Alibert (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) jeudi 20 décembre 2012


* Chiffres tirés d'un sondage Ipsos-Reuters, réalisé en mai auprès de 16.262 citoyens.

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19 décembre 2012 3 19 /12 /décembre /2012 08:16
La séparation des pouvoirs – exécutif, législatif et judiciaire – telle qu’elle s’organise actuellement en Turquie ne semble plus convenir au Premier ministre. Ce dernier a récemment critiqué ce principe, expliquant qu'il empêchait le gouvernement de fournir “davantage de services” à la population.

“Dans la mesure où le système a été mal conçu, nous rencontrons des problèmes inattendus. La bureaucratie se met en travers de notre route ou nous devons faire face à la justice de manière imprévue (…) Le législatif, l’exécutif et le judiciaire devraient poursuivre l’intérêt des individus en priorité, et seulement ensuite l’intérêt de l’Etat”, a déclaré le chef du gouvernement lors d’un discours à Konya (Anatolie centrale) le 17 décembre. Avant de citer en exemple le projet des “hôpitaux de ville”, à l'étude depuis six ans et bloqué selon lui par “l'oligarchie bureaucratique et la justice”.

Très commentés dans la presse turque, ces propos viennent rappeler la volonté du Premier ministre de réformer en profondeur les institutions du pays. Depuis plusieurs mois, Recep Tayyip Erdoğan évoque régulièrement l’abandon du régime parlementaire au profit d’un régime présidentiel ou semi-présidentiel.

Kemal Kılıçdaroğlu, chef du principal parti d'opposition, s'est empressé de réagir à ces déclarations. “Le Premier ministre parle comme si la séparation des pouvoirs était respectée dans ce pays. Mais il a déjà tous les pouvoirs", a déclaré le leader du CHP, Parti républicain du peuple.

Tanguy Quidelleur (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) mercredi 19 décembre 2012

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 09:04
Après une soirée au musée du Louvre récemment, FTPA, l’un des plus anciens cabinets d’avocats indépendants de France, fêtait son 40ème anniversaire hier au Palais de France d’Istanbul avec ses associés turcs du cabinet d’affaires Postacıoğlu. L’Ambassadeur de France en Turquie, Laurent Bili, et le Consul général de France à Istanbul, Hervé Magro, étaient également présents.

Serge-Antoine Tchekhoff, associé de FTPA, en a profité pour confirmer l’installation de son cabinet à Istanbul. “Nous célébrons ce soir un nouvel épisode de cette amitié franco-turque. Nous resserrons nos liens en nous installant à Istanbul”, a-t-il déclaré. La compagnie aérienne Turkish Airlines ou encore de grands groupes textile comptent parmi les clients locaux de FTPA. Etem Postacıoğlu, dont le grand-père a fondé en 1907 son premier cabinet à Izmir, développe aujourd’hui ses affaires entre le siège à Istanbul, Izmir et Paris, où il est aussi installé depuis 1995.

Quelques photos de la soirée :

Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) mardi 18 décembre 2012

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18 décembre 2012 2 18 /12 /décembre /2012 09:03
Un consortium tripartite formé des groupes Koç Holding AŞ, UEM Group Berhad et Gözde Girişim Sermayesi Yatırım Ortaklığı AŞ a remporté l’appel d’offres pour la privatisation de plusieurs autoroutes et des ponts d’Istanbul, a-t-on appris hier. Le consortium a mis 5,72 milliards de dollars (environ 4,3 milliards d’euros) sur la table pour remporter l’enchère. Il s’agit de la deuxième privatisation la plus chère de l’histoire en Turquie, après celle de Türk Telekom en 2005 (55% de la compagnie rachetés pour 6,55 milliards de dollars à l’époque).

Les trois groupes avaient proposé 5,64 milliards de dollars, montant qui les plaçait déjà devant leur dernier concurrent en lice. Mais la commission en charge de l’appel d’offres a demandé un effort supplémentaire de 80 millions de dollars pour conclure l’accord, précise l’agence de presse Anatolie. Le feu vert des trois compagnies a finalisé l’appel d’offres.

Selon les médias turcs, les autoroutes (otoyolu) et ponts concernés sont les suivants: Edirne-İstanbul-Ankara Otoyolu, Pozantı-Tarsus-Mersin Otoyolu, Tarsus-Adana-Gaziantep Otoyolu, Toprakkale-İskenderun Otoyolu, Gaziantep-Şanlıurfa Otoyolu, İzmir-Çeşme Otoyolu, İzmir-Aydın Otoyolu, autoroutes périphériques d'İzmir et d'Ankara, pont du Bosphore (Boğaziçi Köprüsü), pont Fatih Sultan Mehmet et périphérique (çevreyolu). Soit une longueur totale de 1.975 kilomètres.

Anne Andlauer (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) mardi 18 décembre 2012

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 09:10

antakya.jpg

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17 décembre 2012 1 17 /12 /décembre /2012 08:57
Florence Öğütgen vit à Istanbul depuis 1983, où elle dirige avec succès son affaire de tapis et kilims au Grand Bazar. Fondatrice de l’association pour les couples mixtes franco-turcs La Passerelle, elle est aussi conseillère en commerce extérieur auprès de l’Ambassade de France. Elle vient de sortir un livre de photographies, intitulé tout simplement “Il était une fois… le Grand Bazar”.

Photo FF

Très engagée dans la communauté française d’Istanbul, Florence Öğütgen est aussi la seule femme étrangère à la tête d’un magasin de tapis dans un univers essentiellement masculin. Comment gère-t-elle ses employés? “ Contrairement à l’état d’esprit de beaucoup de Turcs, je ne suis pas méprisante envers le personnel. Exigeante, oui, mais aussi humaine et flexible.”

Une histoire de rencontres
Florence fait donc plus que côtoyer l’univers de ce temple du commerce, elle le connaît désormais comme sa poche. L’idée de faire un livre sur le Grand Bazar grandissait en elle depuis longtemps. “Seulement, je ne savais pas vraiment comment m’y prendre.” Cet aboutissement, elle le doit à sa rencontre avec José Reina, un photographe colombien installé à Istanbul depuis 2008. Ce dernier anime un atelier photo, Istanbulclub photo.

“Un jour, il accompagnait ses élèves au Grand Bazar, et m’a demandé de les guider. J’ai adoré ça. Je lui ai parlé de mon idée de livre. Et il a semblé évident à tous les deux que ce serait un livre de photos. Au début je pensais pouvoir les prendre moi-même. Mais il m’a d’emblée proposé de le faire ensemble. J’ai sauté sur l’occasion. Il a vraiment dynamisé le projet en venant me voir régulièrement. Sans lui, nous n’y serions jamais arrivés aussi rapidement.”

Puis José Reina présente Florence à Justin Eccles, un graphiste américain. Installé depuis 2003 à Istanbul, il gère une galerie d’art à Moda. Il s’était déjà occupé de la publication du livre précédent de José, Istanbul Moves. Justin a aussitôt voulu faire partie de l’aventure, pas seulement en tant qu’éditeur, en tant qu’associé aussi

Trois étrangers pour un livre
Trois étrangers différents, mais bien complémentaires. José apporte sa touche “latine et colorée”, son sens de l’esthétique, Justin son pragmatisme et son sens du business. Quant à Florence, elle se charge de l’organisation du livre, et des textes. Elle trie aussi les photos, aidée de Justin. Sur plus de 3.000 clichés proposés par José, ils n’en garderont qu’un peu plus de 200. Commencé début mai, le livre est prêt depuis décembre.

Leur synergie donne naissance à un recueil d’instantanés du Grand Bazar, qui se parcourt comme une promenade. “Je voulais que ce soit un livre accessible, tant sur le prix que sur le concept. Quelque chose que l’on ouvre facilement sans avoir peur de l’abîmer. Je ne souhaitais pas des photos trop travaillées ou retouchées, juste des prises de vue qu’auraient pu prendre des touristes. Elles devaient traduire à la fois le mouvement et l’aspect statique du lieu.” L’ordre suit donc le parcours “classique” emprunté par chacun dans le Grand Bazar, de l’allée principale aux vieux bazars, en passant par les rues les plus attractives comme Örücüler et Keseciler. Tout ce qui est donné à voir, ou presque, est ainsi capturé. En bonus, certains lieux d’ordinaire interdits au public y sont dévoilés, comme le toit des hans et l’arrière boutique des négociants en or. Un itinéraire privilégié, tout en humilité. Une idée cadeau originale.

Fanny Fontan (http://www.lepetitjournal.com/istanbul.html) lundi 17 décembre 2012

Infos pratiques :

Il était une fois… le Grand Bazar, 70 TL, 208 pages, sorti en décembre 2012/ Impression : www.egebasim.com.tr

Vous pouvez le trouver directement dans la boutique Tradition de Florence, située à l’adresse suivante : Kürkçüler Sk. Rubiye Han. N°11-12 Kapalıçarsı - Istanbul. Ou bien lui envoyer un e-mail à florence.ogutgen@gmail.com Cette adresse email est protégée contre les robots des spammeurs, vous devez activer Javascript pour la voir. .

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16 décembre 2012 7 16 /12 /décembre /2012 18:11
InterFrench meeting. Différences de cultures d’affaires entre la France et la Turquie : les bonnes pratiques pour entreprendre
Thématique Conférences
Date de debut 2012.12.20 19:40
Date de fin 2012.12.20 21:30
Intro Présentation de M. Serge Bainvel (Co-fondateur de Easybox, et fondateur de Cook & Meet)
Description M. Bainvel donnera de précieux conseils sur la façon de saisir des opportunités et éviter certains risques. Sa présentation sera étayée par 2 études de cas.
Tarif: 25 TL pour l’entrée et 1 boisson avec alcool ou 2 boissons sans alcool.
Contact Christophe BISSON
Adresse Club house de Galatasaray.
çal?ku?u sokak no:7. 1. Levent 34330
Tel: 0212 270 45 07
www.gscemiyet.org.tr
Parking (pour accéder au plan. Cliquer sur : http://istanbul.interfrench.net/en/evenements/)
18 Turquie
Lien http://istanbul.interfrench.net
Posté par Christophe
 
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